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INVENTAIRE DE LA CORRESPONDANCE

266 INVENTAIRE DE LA CORRESPONDANCE 7 septembre. A Caroline Branchu. Vois la date et puis tu comprendras que tu sois depuis six jours partie d’avec nous… (aut. Douai ; cit. Bibl. I p. 325). (Paris), 8 septembre. A Prosper Valmore. Au milieu de l’indignation de cœur que renouvelle leur brutal accueil… (aut. Douai ; Boy. II p. 8 ; R. II p. 26 ; 9 septembre. A son fils. cit. Bibl. I pp. 104, 280). Mon fils, je reste un jour de plus loin de toi, et je ne partirai donc de Chantilly qu’après-demain… 10 septembre. A Ondine. (aut. Douai ; M. p. 284). S’il ne tenait qu’à moi, chère aimée, tu aurais des lettres comme s’il en pleuvait… 12 septembre. A Prosper Valmore. (aut. Douai ; M. p. 295). Ne t’inquiète jamais, mon ami, sans réfléchir aux mille petits incidents. (aut. Douai ; Boy. II p. 11 ; fragm. R. II p. 28 ; 18 septembre. A Caroline Branchu. fragm. Bibl. I p. 320). Tiens, mon bon ange Caroline, voici avec toutes mes tendresses les petits objets… (aut. Douai ; Boy. Œuvres manuscrites). (Paris), 19 septembre. A Prosper Valmore. Si tu ris de ce bouquet, mon cher enfant, sache que c’est Inès qui me cède… (aut. Douai ; Boy. II p. 14 ; cit. Bibl. I pp. 280, 360). Paris, 25 septembre. A Prosper Valmore. Il fallait avoir ressenti mes anxiétés sur toi, mon cher ami, pour éprouver… (aut. Douai ; Boy. II p. 17 ; fragm. R. II p. 29 ; fragm. Bibl. I pp. 211, 280).