236 INVENTAIRE DE LA CORRESPONDANCE 24 juillet. Au docteur Dessaix. De mon côté… (Coll. A. H. de Favreuil). 24 juillet. A Caroline Branchu. Voici, ma chère Caroline, une lettre de Paméla, qui devra te rassurer entièrement… (aut. Douai ; fragm. Bibl. I p. 150). (Lyon ?), 8 août. A son fils. L’idée que tu es moins heureux en ce moment que les années précédentes, mon Hippolyte… (aut. Douai ; M. p. 281). Paris, 14 août. A Alexandre Dumas. Quand vous n’êtes plus là, je ne suis bonne à rien, ni pour moi ni pour les autres… (Paris), 16 août. A Léon Boitel. (P. p. 228). Je souffre de vous sentir souffrir et tout le plaisir que j’ai ressenti à voir s’épurer… (aut. Avignon ; V. p. 99). 16 août, A Caroline Branchu. Ta bonne lettre à mon mari m’a fait sauter en l’air, ma chère Caroline, quand tu parles… Paris, 18 août. A M. Froussard. (aut. Douai). Je ne peux résister, Monsieur, au désir de vous écrire quelques lignes dans la tendre agitation… (aut. Douai). 1er septembre. A Caroline Branchu. Voilà septembre, ma bonne Caroline, et je sais que Tobeau doit partir le 9. Que veux-tu ?………. (aut. Douai).
Page:Cavallucci - Bibliographie critique de Marceline Desbordes-Valmore, tome 2.pdf/246
Cette page n’a pas encore été corrigée
236
INVENTAIRE DE LA CORRESPONDANCE