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INVENTAIRE DE LA CORRESPONDANCE 213 Paris, 13 mars. A Prosper Valmore. Tu m’attends maintenant, n’est-ce pas, mon cher Prosper ? (aut. Douai ; Boy. I p. 102). (Paris), 18 mars. A Prosper Valmore. Je t’écris sur la cheminée, mon cher ami, où nous mangeons… (aut. Douai ; Boy. I p. 102). Lyon, 25 mars. Au sculpteur Th. Bra. C’est à tes deux anges à genoux, mon bon Théophile, que je dois l’éclosion… (L. p. 221 ; fragm. Bibl. I. p. 210). Lyon, 28 mars. A son fils. Je suis à Lyon, mon bien-aimé enfant. A travers bien des fatigues et des embarras… (mars). A Caroline Branchu. (aut. Douai ; M. p. 242). Viens me prendre pour aller dîner chez Monsieur Augier, bonne Alceste… (aut. Avignon). Lyon, 16 avril. A son fils. Bonjour, mon cher et bien aimé enfant ! Nous vivons tous encore pour t’aimer… (aut. Douai ; R. 1 p. 59). Lyon, 23 avril. A Caroline Branchu. Si je n’eusse été demi-morte de terreur, mon bon ange Caroline, je ne me pardonnerai…

(aut. Douai ; R. I p. 60 ; P. p. 197 ; fragm. Bibl. I p. 237). Lyon, 23 avril. A Charpentier, l’éditeur. C’est baigner son âme dans de l’eau-forte que de la replonger dans ces sanglants… (P. p. 201 ; L. p. 270).