1817
Bruxelles, 2 janvier. À son frère.
Est-il trop tard, mon cher Félix, pour t’embrasser avec toute la tendresse d’une sœur…
(aut. Douai ; B. p. 72 ; R. I p. XIX ; fragm. Desc. F. ; fragm. Bibl. I p. 27).
Bruxelles. À Prosper Valmore.
Non, Monsieur, je n’ai pas répondu. Je ne voulais donner aucune suite à ce que je regardais…
(aut. Douai ; Boy. I p. 1 ; R. I. p. 1 ; B. p. 144).
(Bruxelles) À Prosper Valmore.
Monsieur, j’ai pris, dites-vous, votre timidité pour de la fierté. Vous avez pris ma tristesse pour du dédain…
(aut. Douai ; Boy. I p. 2 ; R. I p. 3 ; B. p. 145).
(Bruxelles). À Prosper Valmore.
Me croyez-vous libre d’exprimer ce qui se passe en moi, mon ami ? Le croyez-vous ?
(aut. Douai ; Boy. I p. 2 ; R. I p. 4).
(Bruxelles, après le 4 septembre).
À Prosper Valmore. Sais-tu, Prosper, ce que j’ai trouvé dans ta lettre…
(aut. Douai ; Boy. I p. 3 ; B. p. 148).
(sans date). À son frère.
Mon cher Félix, tu m’étonnes de plus en plus. Ton avant-dernière lettre était écrite sur un ton…
(aut. Douai ; fragm. Bibl. I p. 24)..
1818
Bruxelles, 22 janvier. À son frère.
Mon ami, de jour en jour, je veux t’écrire, de jour en jour un travail assidu, des études…
(aut. Douai).