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INVENTAIRE DE LA CORRESPONDANCE

Paris, 3 mars. À son frère.

Ta dernière lettre, mon cher Félix, m’a fait tout autant de bien que les autres…

(aut. Douai ; fragm. R. I p. XV).

Paris, 8 mai. Au chevalier Dupuy des Islets.

J’aurais bien de la peine, Monsieur, à vous exprimer le plaisir que j’ai…

(B. p. 86, aut. ayant appartenu à P. Louys).

(sans date) À son frère.

Je suis à moitié morte et découragée. À tel point que me plaindre n’est pas un soulagement…

(L. p. 244).

1814

Paris, 10 janvier. À son frère.

Mon cher Félix, tu auras reçu de mes nouvelles depuis longtemps, si j’avais eu l’ombre de bonheur à t’apprendre…

(aut. Douai).

1816

Bruxelles, 17 juin. À son frère.

Mon ami, tu te plains de mon silence, il est pourtant bien vrai que je t’ai écrit dans le moment…

(aut. Douai ; R. I p. XVII).

Bruxelles, 5 septembre. À son frère.

Ta chère lettre, mon ami, m’a fait du mal et du bien. Je ne serai jamais insensible…

(aut. Douai ; fragm. R. I p. XVIII ; fragm. B. p. 72 ; fragm. Bibl. I p. 27).

Bruxelles, 14 septembre. À Mme Duchambge-Garat.

Ah ! ma chère, il est donc vrai que les larmes d’une mère ne peuvent jamais être taries…

(Vente Blaizot, 12 nov. 1935 ; B. p. 179).