Nous ne pourrons donc faire état dans cet inventaire des quatre volumes[1] de lettres de Marceline transcrites par son fils. Mais nos regrets s’atténuent du fait que la majeure partie de ces lettres ont été publiées : les lettres à Prosper Valmore et à Pauline Duchambge (éd. de la Sirène). représentent 649 pages in-8 de texte compact et les lettres inédites, publiées chez Michaud (1911), forment 351 pages où se trouve certainement recueilli ce qu’il y avait de plus intéressant dans ces quatre volumes. D’autre part, un grand nombre d’autres lettres nous sont connues par les originaux eux-mêmes ou par diverses publications faites sur les originaux.
Chaque lettre est suivie, dans notre répertoire, de l’indication des volumes ou des revues où elle a paru ; et chaque fois que nous avons pu le savoir, nous y mentionnons également le dépôt ou la collection, où l’autographe original est conservé. Des fervents de Marceline nous reprocheront peut-être de n’avoir point publié les textes. Toutes sortes de raisons s’opposaient à cette entreprise ; mais nous pensons déjà nous être acquis quelque titre à la reconnaissance du lettré, en lui indiquant des documents qu’il ignorait et en lui apprenant où se trouve tel autographe qu’il désire consulter.
- ↑ Nous aurions négligé les deux autres.