que Lagrange a choisies pour exemples (Résolution des équations numériques, Chap. IV), et dont la première a été plus anciennement traitée par Newton.
Si nous considérons d’abord l’équation (90), nous trouverons (théorème III, scolie II) qu’elle a une seule racine positive comprise entre les deux limites
De plus, la valeur positive de propre à vérifier l’équation
satisfera (problème I, scolie IV) à la condition
ou, ce qui revient au même, à la suivante :
La racine dont il s’agit sera donc renfermée entre les nombres et en sorte que sa valeur, approchée à moins d’un dixième près, sera Pour obtenir une valeur plus exacte, nous observerons qu’on a dans le cas présent
et que, si l’on prend
la condition énoncée dans le théorème IV sera remplie. Cela posé, comme on tirera de l’équation (55)
on trouvera pour les nouvelles valeurs approchées de l’inconnue
et
Enfin, comme, la valeur exacte de étant présentée sous la forme