ou, ce qui revient au même, deux valeurs de propres à vérifier l’équation
et que ces valeurs, toutes deux réelles, sont respectivement
Supposons encore On trouvera qu’il existe quatre valeurs de l’expression
ou, ce qui revient au même, quatre valeurs de propres à vérifier l’équation
Parmi ces quatre valeurs, deux sont réelles, savoir
Les deux autres sont imaginaires et respectivement égales, la première à
la seconde à
Corollaire II. — Lorsque est impair, les diverses valeurs que le nombre entier peut recevoir, sans sortir des limites sont respectivement
Pour chacune de ces valeurs de la formule (3) fournit en général deux valeurs imaginaires conjuguées de l’expression c’est-à-dire deux racines imaginaires conjuguées et du degré Seulement, on trouve, pour une racine unique et réelle, savoir En résumé, lorsque est impair, l’expression