Page:Catherine de Sienne - Le Dialogue, Hurtaud, 1913, II.djvu/279

Cette page n’a pas encore été corrigée

dit qu’ils choisissaient l’obéissance la plus parfaite. Je t’ai entretenu de l’obéissance commune, et comme je sais que ton désir est que je parle de l’obéissance plus particulière qui mène à la grande perfection, je vais maintenant traiter de celle-ci ; car elles sont si étroitement unies entre elles, comme je t’ai dit, qu’on ne saurait les séparer l’une de l’autre. En t’exposant l’obéissance commune, je t’ai dit d’où elle procède — où on la trouve- ce qui peut vous la faire perdre. Je suivrai le même ordre, pour te parler de l’obéissance particulière.