Page:Catherine de Sienne - Le Dialogue, Hurtaud, 1913, II.djvu/168

Cette page n’a pas encore été corrigée

est en perpétuel mouvement, jusqu’à ce qu’il parvienne au terme qui lui est assigné, ma providence ménage sans cesse, à chacun, les secours dont il a besoin, aux différents instants de sa durée.