Page:Catherine de Sienne - Le Dialogue, Hurtaud, 1913, I.djvu/229

Cette page n’a pas encore été corrigée

les appelle ; et ils ne s’en aperçoivent pas, parce qu’ils ont perdu la lumière de la foi. Venez, semble-t-il leur dire, venez à moi, vous tous qui avez soif d’eau de mort et je vous en donnerai à boire…