Le no 15 ne contient que l’extrait des articles de la Coutume relatifs au règlement de la voirie.
16o. Mémoire pour les commissaires de police de la ville de Nevers. — 4 pages. — Paraît une réponse à la remontrance ci-dessus.
18o. Testament de M. Jean-Antoine Tinseau, évéque de Nevers. « Fait à Urzy, dans ma maison, le septième d’octobre de l’année mil sept cent soixante dix-huit. » — 6 pages.
19o. Minute sans date, d’une lettre de M. Guillier au duc, au sujet de difficultés qui s’étaient élevées entre les échevins de la ville et le lieutenant général. — 1 feuillet.
20o. « Mémoire du lieutenant général de Nevers, servant de réponse à la lettre que Monseigneur le duc de Nevers a reçuë des sieurs Lempereur, Lévesque, et Gourjon, échevins, et du sr Paichereau pr du fait commun de la ville de Nevers sous la datte du neuf février 1749 et dont monsieur de Saint-Hilaire a eu la bonté d’envoyer une copie aud lieutenant général. » — «La lettre est du style du sr Paichereau : il a mauvaise grâce (en marge : aussy bien que les échevins qui ont signé avec luy) à dire… » — 2 feuillets.
21o. Dossier de 4 pièces. Suite du conflit où le principal rôle paraît appartenir au sieur Paichereau, substitut du procureur général en l’hôtel de ville et police de Nevers, demandeur contre Charles Guillier de Monts, lieutenant général, et Guillaume Gascoing, procureur général du duché-pairie, défendeurs. — 6 feuillets.
23o-31o. Dossier de huit pièces relatives au conflit soulevé par dom Pierre Le Blanc, prieur titulaire du prieuré de Saint-Étienne, et les officiers au bailliage et pairie, au sujet de la boucherie de Saint-Étienne. 1751. — 20 feuillets.
32o. Copie du « Mémoire pour les officiers du baillage de Nevers ». Ils protestent contre « le refus constant du lieutenant général d’écouter leurs plaintes » et portent « aux pieds de Son Excellence leurs plaintes sur des abus plus ou moins nouveaux introduits dans leur siège ». 1772. — 4 feuillets.
33o. Minute signée d’une lettre de Guillier de Monts au duc, en date du 3 mars 1772. — Il a toujours eu des égards pour Messieurs les officiers du bailliage duché-pairie, « sans espérance d’aucun retour de leur part ». — Sous les nos 33 bis et 33 ter, deux autres lettres de M. Guillier sur le même objet, la seconde en date du 22 mars 1772. — 3 feuillets.
