jamais été imprimée, mais tout ce qu’elle contient d’essentiel a été publié par les personnes qui ont écrit sur le Nivernais depuis le commencement du siècle.
- 1808. Papier. 352 pages, avec une continuation de 3 pages par Guyot-Sainte-Hélène, magistrat de sûreté du IIIe arrondissement de Paris, comprenant les quatre derniers évêques : d’Hugues, Tinseau, Séguiran, Suffren. Table générale des matières, non chiffrée, 17 pages. 320 sur 210 millim. Rel. veau.
7 (623). Recueil de sermons et d’extraits de théologie morale. — (Au dos : « Manuscrit de l’abbé Crétin. » — Titre relativement récent et que nul indice ne soutient.)
Contient dans une première partie (p. 1-154) quarante sermons. — Pages 361-379. Noëls et cantiques à chanter sur des airs tels que ceux-ci : J’ay tant bû que je voy trouble ; Que l’amour est doux à suivre. — Pages 557-629. « Extraict du traité intitulé : Practique de la vive foy de laquelle le juste vit et se sustente. Composé par le R. P. Thomas de Jésus, vicaire général des Carmes deschaussez en Flandres. »
La seconde partie contient, sous une pagination nouvelle, les extraits en latin de théologie morale.
- XVIIe siècle. Papier. 836 pages, dont 632 pour le 1er recueil, 201 pour le second. 162 sur 110 millim. Rel. parchemin. — (« Donné à la Bibliothèque de Nevers par M. Laurent, libraire. Jr 1846. »)
8 (999). « Le Coutumier des païs de Nivernois et Donziois, fait à Nevers par assemblée des trois États et par autorité du prince desdits pays. Rédigé en 1490. Ensuite duquel sont les coutumes générales du bailliage de St Pierre Le Moutier, ressors et exemptions d’icelui, commencées en 1514 et rédigées en 1515. »
I. Page 1. Coutumier des pays de Nivernois et Donziois. « Ce sont les Coutumes des païs et conté de Nivernois et baronnie de Donziois… »
Page 97. Fin. Au-dessous, note de M. Brisson :
« C’est de cette rédaction dont parle Du Moulin dans sa note sur le titre de la coutume de Nivernois rédigée en 1534, en ces termes : « Auparavant ces présentes y avoit anciennes coustumes de Nivernois et Donziois, faites par assemblée des trois États par autorité du duc de Brabant et comte de Nevers, ancien appanage de Bourgogne, le 23 jour
