27 feuillets. 548 sur 378 millim. Initiales enluminées et dorées. Rel. bois couvert de veau gaufré, coins et ombilic en cuivre.
4 (4581). « Officium gloriosissimi nominis Jesu, quod celebratur decima quarta mensis januarii : in cujus honore instituta fuit confratria anno Domini millesimo quingentesimo nonagesimo quarto, tempore Clementis VIII, summi pontificis, Henrici IIII, Francorum regis, et Arnaldi Sorbini, Nivernensis episcopi. Quod notatum fuit per M. Marinum Couetoux, predicte confratrie primum auctorem, anno Domini millesimo sexcentesimo primo. » (Gothique rouge.)
Sur la feuille de garde : « S’ensuient les noms des confrères qui sont de la confrérie du StNom de Jésus, instituée en l’église de Nevers, l’an 1614 : Monseigneur l’évesque et Messrs… » (22 noms.) Au dessous : « Controolles des confrères de l’année 1641. » (7 noms, dont 4 sont suivis de l’obiit, daté.) À la suite, 15 autres noms des confrères pour l’année 1676 ; enfin, 18 autres, formant nomenclature nouvelle, de 1645 à 1686. — Sur le milieu du même feuillet de garde, ce « nota que chaque confrère doit donner par an à la confrérie deux sols ». — À l’intérieur du premier plat, pièce collée, portant fondation, et signée de douze noms de membres de la confrérie.
- XVIe siècle. Papier. Initiale enluminée, or sur fond bleu ; une seconde a été enlevée au feuillet 4. 19 feuillets. 495 sur 304 millim. Rel. veau, monogramme du Christ enguirlandé sur les plats.
5 (20). « Processionnal selon le Bréviaire du diocèze de Nevers, à l’usage particulier de l’église parroissiale de St Romain de la ville de Châteauchinon. † P. B. C. 1753, 23 juin. »
- XVIIIe siècle. Papier. 338 pages. 170 sur 110 millim. — (« Donné par M. Gallois, conservateur du Musée. 1850. »)
6 (155). Frontispice décoratif servant de faux titre. « Histoire sommaire de nosseigneurs les évêques de Nevers, par Me Antoine Charles Parmentier, avocat en Parlement, procureur-général des Chambres des comptes et domaine du Nivernois, maître des archives du duché. »
Transcrit en 1808 sur le manuscrit original, donné par l’auteur à l’abbé Alloury, chanoine de l’église cathédrale de Saint-Cyr de Nevers et bibliothécaire du chapitre de la même église. — Cette histoire n’a
