Page:Catéchisme libertin, 1880.djvu/49

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

ORAISON

À SAINT GARCELIN


Grand Saint, vous qui êtes le protecteur déclaré des putains, qui ne leur refusez jamais rien, faites, par votre entremise, que jamais la vérole n’altère mon tempérament, que ma chair soit toujours blanche, fraîche et dodue, afin de pouvoir accaparer beaucoup de pratiques et de michés ; inspirez-moi cette vive ardeur de foutre qui vous animait ici-bas ; donnez-moi la raideur des coups de culs, leurs élancements et le talent admirable de savoir désarçonner par eux