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LIBERTIN


tant à l’homme que cette maladie périodique des femmes ? quel spectacle plus dégoûtant qu’une pine barbouillée d’ordinaires ? Je sais que les femmes dans ce temps sont beaucoup plus passionnées, qu’elles bandent avec plus de luxure ; mais il ne faut pas que l’envie de foutre les portent à occasionner aux hommes des regrets cuisants et à s’en faire haïr. Lorsqu’une fille se sera déclarée au fouteur pour être au temps de ses règles, si le satyre veut néanmoins qu’elle fasse le service, que sa pine barbotte alors dans son con, la fille n’a plus rien à se reprocher ; qu’elle profite même de cet instant de rage foutative pour se servir de ce vit enragé comme d’un excellent frottoir pour se débarbouiller la matrice. Cet expédient lui est permis, parce que le fouteur a voulu passer par-dessus les règles. Elle doit néanmoins, après le coup tiré, avoir soin d’offrir un vase et de l’eau à ce laveur de con, afin qu’il puisse décrasser sa pine ; elle doit aussi en faire autant de son côté ; l’empresse-