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Désormais solitaire, je cheminerai à travers les sentiers de la vie, sans que jamais ta voix amie retentisse à mon oreille !
Heureux si la mort m’eût enlevé le premier !
Toi du moins, tu as un ami pour te rendre les derniers devoirs ; mais moi, personne à ma dernière heure ne viendra jeter un peu de sable sur ma dépouille.
… Ô Tshinépik’ ! Tshinépik’ ! adieu !…
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L’écho de la montagne répéta au loin : adieu !
À cette voix le Canotier tressaillit, comme s’il eût entendu celle de son fidèle compagnon, lui jetant une dernière parole de reconnaissance.