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Lorsque déjà notre vie s’en va vers son déclin, souvent dans cette ombre que projette devant nous toute vie dont le soleil descend, nous croyons voir s’élever couronnée d’une pure lumière une image que les années embellissent à mesure qu’elles l’éloignent de nous ; et sous le charme d’un souvenir toujours jeune, nous nous surprenons à nous écrier dans le secret de notre cœur : « Ma mère ! Ah ! oui, c’est ma mère ! »


R. P. Félix.