effort pour se dégager ; mais ce fut en vain.
Le reptile furieux s’avança une seconde fois et recommença l’attaque ; mais cette fois avec plus de précaution encore.
Après s’être approché plus près qu’auparavant de son ennemi, il s’élança avec une nouvelle fureur ; mais sans plus de succès, car la main du Sauvage l’envoya rebondir, encore plus loin qu’auparavant.
Le Potowatomis fit alors un effort suprême pour se délivrer ; mais ce fut encore inutilement ; il resta cloué dans l’ouverture du soupirail.
Prompt comme l’éclair, le reptile, l’écume aux lèvres, le regard en feu, la gueule gonflée par la rage, et sortant une langue bifurquée et sanglante, revint de nouveau en rampant vers sa proie.
Les écailles de sa peau, que la rage faisait étinceler des plus vives couleurs, miroitaient sous les rayons argentés de