voyageuse, mais voletante, de ces moineaux gris nourris d’une miette aux croisées et chantant pour l’écart lumineux de deux nuages. »
Mme Alphonse Daudet n’est ni moins colorée, ni moins charmante dans ses Études littéraires, qui sont encore les impressions d’une femme de cœur et d’une femme d’esprit, ni dans ses Notes et impressions en prose et en vers, qui ont suivi l’Enfance d’une Parisienne.
Voilà déjà un peu plus de vingt ans que nous devons presque chaque année un roman à Mme L. M. Gagneur. Rappelons entre autres : la Croisade noire (1864), — puis, après le Calvaire des femmes, les Forçats du Mariage, — le Divorce, — Chair à canon (en 1872). Il faut encore signaler, depuis cette époque : les Vierges russes, — le Roman d’un prêtre, et la Fournaise qui parut l’année dernière.
C’est encore une femme, Mme Jules Paton qui, sous le pseudonyme de Jacques Rozier, publia la Princesse Cléo, — l’Impasse Oberkampf, — le Divorce de Sarah Moor, et, dans ces derniers temps, la Justicière.
Mme Foucaux, sous le nom de Mary Summer, a