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AVIS

DU TRADUCTEUR.



Je suis persuadé que le plus grand nombre des lecteurs va révoquer en doute la certitude que cet ouvrage soit une traduction de l’italien. Comment peut-il se faire, vont-ils dire qu’un ouvrage dont la scène paraît se passer en France, à Paris même, dont la topographie est si exacte, dont tous les caractères et les noms sont français, ait été composé et imprimé en Italie ? Cette objection, la seule qui puisse être vraisemblablement proposée, va tomber d’elle-même par les réflexions sui-