crifiait : il leur adressait ses vœux ; il
semblait dire : cette joute amoureuse
qu’une légère apparence de vos appas
m’inspire, serait bien autre chose si
les abandonnant à l’amant qui vous
adore, vous vouliez partager ses doux
transports. J’évitai de me montrer pendant
le reste de la journée.
Le lendemain, je reçus une lettre anonyme avec un superbe bracelet. Quelques jours après l’autre bracelet m’arriva, avec une seconde missive. C’était entre les mains de ma femme de chambre que les cadeaux étaient d’abord déposés. La tendresse de mon amant, que je supposai être mon voisin prenant une tournure favorable, je crus devoir agir avec ruse. Au troisième voyage du porteur de cadeaux, qui venait avec une grande quantité de riche étoffes, ma suivante dit : que