il serait bien triste pour moi, si vous
faisant entrer dans le sein de cette famille
respectable, j’introduisais un
homme qui vint y porter la douleur et
le désespoir. Je ne doute pas, continuai-je
de vos qualités morales, mais il
faut aussi à la femme la plus vertueuse
un mari qui puisse satisfaire aux devoirs
du mariage : la bonne volonté ne
suffit pas à cet égard, il faut encore
mon cher ami, il faut qu’il ait reçu de
la nature les moyens propres à remplir
sa tâche ; voyons, voulez-vous
permettre que je m’en assure de mes
propres yeux ? Et je mis aussitôt la
main à sa culotte ; parvenue à son
priape, je lui dis qu’il était passable.
Cependant à force de le presser, de l’agiter,
il acquit cette force, cette supériorité,
présage d’une heureuse victoire.
Il ne suffit pas lui dis-je, de posséder
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