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nette me prend amoureusement dans ses bras ; docile à saisir la nouvelle position où elle me veut conduire, je suis déjà courbée sur le lit, mon derrière est exposé à ses regards, un coussin placé sous mon ventre l’exhausse, ma chemise voltige par dessus mes épaules, et les verges recommencent à agir sur mes fesses et sur une partie de mes cuisses ; leur doux picotement aiguillonnent mes sens. Bientôt son ventre s’appuie sur moi ; alors le chatouillement que j’éprouve n’est plus l’ouvrage de son doigt ; je sens l’autre doigt de l’homme… j’écarte les cuisses pour lui laisser plus de liberté.

Ah ! quel accroissement de volupté ! étendue et presque sans sentiment, à force de trop sentir, mon existence ne se manifeste plus que par des espèces de convulsions de ma croupe. Les verges,