avec elle, car les conditions qu’elle
avait établies la veille lui étaient trop
avantageuses, vu la disproportion de
nos forces. Pour me satisfaire, elle me
proposa d’abord de souscrire à tout
ce qu’elle exigerait de moi, et qu’elle
subirait à son tour les lois que je voudrais
lui imposer. Ceci étant plus raisonnable,
je tombai d’accord. Aussitôt
je reçus l’ordre d’ôter mes vêtemens :
assise sur un fauteuil au pied
de mon lit, tandis que j’étais debout.
Jeannette m’ordonne de lever ma chemise
à hauteur indiquée ; toutes les
fois que je manquerais le point fixe,
je devais être fouettée. A sa voix, je
me retourne, et je lève ma chemise
de façon à ne lui montrer qu’une
fesse. Comme je ne pus remplir ponctuellement
l’ordre, elle me coucha sur
ses genoux et me fustigea. Les verges
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