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le succès au théâtre ; la dernière, qui embrasse toute la fin de cette vie si féconde (1860-1876), et que signale un retour au roman de la première manière, mais où la flamme est tempérée par l’expérience, parfois même amortie par l’âge, quelque peu languissante en dépit de chefs-d’œuvre qui subsistent et semblent protester contre cette impression par la vigueur toujours jeune et la pureté de l’inspiration.