le plus grand effet possible, il faut nécessairement qu'il n'arrive aucune percussion, c'est-à-dire que le mouvement doit toujours changer par degrés insensibles ; ce qui donne lieu, entre autres choses, à quelques remarques sur les Machines hydrauliques.
Enfin, je termine cet écrit par quelques réflexions sur les lois fondamentales de la communication des mouvements, qui, si elles ne sont pas du goût de tout le monde, sont du moins assez courtes pour ne fatiguer personne.
Mais, je le répète, cet Essai n'a pour objet que les Machines en général ; chacune d'elles à ses propriétés particulières : il ne s'agit ici que de celles qui font communes à toutes ; ces propriétés, quoique assez nombreuses, sont en quelque forte toutes comprises dans une même loi fort simple : c'est cette loi qu'on s'est proposé de rechercher, de démontrer et de développer, en envisageant toujours les Machines sous le point de vue le plus général et le plus direct.