Cette page a été validée par deux contributeurs.
ici plusieurs estropiés, auxquels on n’ose pas donner l’uniforme. »
Je lui réponds qu’à St Leger, un officier supérieur a pour ordonnance, un bossu en uniforme ; que j’ai vu, dans le rang, un soldat borgne, un autre auquel il manquait deux doigts.
À dix-huit heures, j’étais rentré à Croisilles.
Le sous-officier, gardien des clefs de la grange, arrive avec des soldats et des voitures pour enlever du foin. Il ouvre la grange du côté de la batteuse. Je me trouvais à la maison ; je sors aussitot dans la cour, pour passer là auprès, par hasard.
Ce feldwebelle ne sait pas dissimuler sa déception à la vue du tas de foin, aux deux tiers xx vidés. Il avance vivement vers le tas d’avoine. La dispari-