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M. de Prétendsiere.
Mais sans doute, comme tous les Anglois qui viennent à Paris.
M. d’Amabert.
Mais si tous mes compatriotes ils font une faute, est-ce que je dois faire aussi ?
M. de Prétendsiere.
Je ne sais pas pourquoi vous appellez une faute, ce que font tous les François.
M. d’Amabert.
Les François qui font, ils sont pas comme moi ; que je suis venu ici pour la mariage.
Mde de Roiseville.
Vous venez pour vous marier, Milord ?
M. d’Amabert.
Oui, Madame, oui, pour marier, ainsi je suis pas pour un Fille d’Opéra, voyez-vous.
M. de Prétendsiere.
Quand vous aurez vécu un peu de temps en France, vous suivrez nos usages.
M. d’Amabert.
Non, Monsieur, jamais, je dis encore.