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M. de Sourval.
C’est que vous paroissez souffrir.
Mlle de Leurville.
Il est vrai que je ne suis pas bien ; mais il ne faut pas pour cela vous inquiéter. D’ailleurs, malade ou non, je vous épouserai, Monsieur ; je vous le promets, je crois que vous devez être content.
M. de Sourval.
Ah ! très-content ! À part. Quel changement ! je m’y perds.
Scène VII.
M. DE PRÉVIEUX, M. DE SOURVAL, Mlle DE LEURVILLE.
M. de Prévieux.
Je vous demande pardon, mon cher Sourval, d’interrompre ainsi un tête à tête, mais j’ai un mot à dire à Mademoiselle.
M. de Sourval.
Je vais chez mon Notaire, je reviens sur-le-champ, je l’amènerai, s’il est possible.