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M. BREMIN.
Oui, cela ne sera pas mal, sur-tout après dîné.
M. DE BELRONDE.
Oui, après le vôtre, car le mien est fait, n’est-ce pas ?
M. BREMIN.
A quoi songez-vous-là, dans l’état où vous êtes.
M. DE BELRONDE.
Mais je ne sens rien qu’un grand appétit.
M. BREMIN.
Je le crois bien ; c’est l’humeur qui est avide de repaître.
M. DE BELRONDE.
L’humeur ?
M. BREMIN.
Oui, vous ne connoissez pas cela ?
M. DE BELRONDE.
Pardonnez-moi. Très bien. Je crois qu’on apporte votre dîner ; mettez-vous toujours à table.
M. BREMIN.
Vous avez raison. Il se met à table.