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pleuré, elles finissent par consentir à se marier pour avoir la liberté.
M. DE FORTIERE.
Vous m’effrayez !
DAME MONIQUE.
Je vous avertis, pour que vous preniez vos mesures, je ne veux pas que vous ayez rien à me reprocher.
M. DE FORTIERE.
Dame Monique ?
DAME MONIQUE.
Eh-bien, Monsieur ?
M. DE FORTIERE.
Je vous promets de faire votre fortune si vous pouviez l’engager à me suivre, je la menerois chez une de mes tantes.
DAME MONIQUE.
Quoi, un enlevement ?
M. DE FORTIERE.
Ce n’en est pas un.
DAME MONIQUE.
Et qu’est-ce que c’est donc ? Vous ne seriez