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fort charmé de ma derniere voyage ; c’est un Ville qu’il est fort agréable, fort charmant ! Pourquoi-donc vous, il quitte la France ?
M. BRILLANTSON.
C’est que je suis bien-aise de voir un peu l’Allemagne, on m’a dit qu’il falloit tout connoître.
Le BARON.
Cette Pays il est bon. Et Mademoiselle Persil, comment il est à présent ?
M. BRILLANTSON.
Elle danse toujours à l’Opéra.
Le BARON.
Oui, mais je dis son santé ?
M. BRILLANTSON.
Est-ce que vous l’avez connue ?
Le BARON.
Oh, tiaplement !
M. BRILLANTSON.
Je ne sçavois pas.
Le BARON.
Il m’a coûté encore plus avec cela de l’argent beaucoup ; mais j’ai aime encore grandement. Son mère il boit fortement, mais il aime encore beaucoup l’argent bien plus fort.