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M. DE TENDREVILLE.
Si, j’ai bien vu que c’étoit un Prince amoureux.
M. DU RIVAULT.
Oui ; mais à qui un pere cruel ne veut pas donner sa fille.
M. DE TENDREVILLE.
Le pere est donc un tyran ?
M. DU RIVAULT.
Oui, un tyran.
M. DE TENDREVILLE.
C’est une cruelle situation, & bien rendue.
M. DU RIVAULT.
C’est qu’elle est bien sentie ; parce que l’Auteur que vous voyez, l’éprouve actuellement.
M. DE TENDREVILLE.
Quoi, il est comme ce malheureux Prince ?
M. DU RIVAULT.
Précisément. Et, devinez qu’est-ce qui est le tyran ?