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Scène IX.
M. TROTBERG, M. DUBREUIL, fils, La PIERRE.
M. DUBREUIL, fils.
Ah, Monsieur Trotberg, je suis charmé de vous voir à Paris. (Il l’embrasse.)
M. TROTBERG.
Je suis bien content aussi, véritablement.
M. DUBREUIL, fils.
Je comptois que vous n’arriveriez que demain, je vous demande bien pardon de n’avoir pas été ici à votre arrivée.
M. TROTBERG.
J’ai vu Monsieur votre pere ; mais il m’a mis de l’embarras avec cette garçon ; parce que les miens ils sont tous malades de la poste, & puis ils savent pas la langage de cette pays, & je puis pas expliquer à cette Pierre, qu’il n’entend pas.
M. DUBREUIL, fils.
Cette Pierre ?