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M. TROTBERG.
Je suis fort obligé, je demande bien pardon.
M. DUBREUIL, pere.
Vous vous moquez de moi.
M. TROTBERG.
Moi, non, je ne moque pas de vous ; moquer c’est comme rire, n’est-ce pas ?
M. DUBREUIL, pere.
Oui.
M. TROTBERG.
Oui ? j’ai écrit déja plusieurs fois, & vous voyez bien que je ne ris pas.
Scène II.
M. DUBRUEIL, M. TROTBERG, La PIERRE.
La PIERRE.
Monsieur, il y a un Monsieur, dans votre cabinet, qui vous attend.
M. DUBREUIL, pere.
C’est bon ; je vais y aller.
M. TROTBERG.
C’est un affaire, peut-être, il faut aller, marcher. Je suis fort bon ici.