reux pour avoir le bonheur que de !… mais ; Mademoiselle, dites donc ?…
C’est à ma chere mere à parler.
Eh bien ! parlez, vous, je parlerai après.
C’est que je disois, comme cela, à ma chere mere, que vous aviez envie de vous marier.
Il est bien vrai que je n’y avois jamais pensé avant de vous avoir vu ; mais du depuis ce temps-là, je ne pense pas à autre chose.
Tenez, écoutez-moi, mes enfans ; je ne suis qu’une femme, & je ne vais point par quatre chemins ; ce qu’on tient il ne faut pas le lâcher ; allez chercher Monsieur votre pere ; s’il est vrai que vous êtes son fils, cela sera bientôt fini ; voilà comme je suis, moi, voyez-vous.
Ah, Madame ! ah, Mademoiselle Janneton ! Mais seroit-il bien vrai ? (Il se leve.) Dans ces occasions-là, il ne faut pas épargner, je m’en vais prendre un fiacre, & je reviens tout