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Scène II.
DEVERBERIE, M. DELAMERCI, LEROUX.
M. DELAMERCI.
Ah ! Monsieur Deverberie, enfin, je vous trouve ; j’avois bien peur de vous manquer.
M. DEVERBERIE.
Je n’avois garde de ne pas vous attendre, d’abord que j’ai sçu que vous aviez à me parler ; mais avant tout, je vous en prie, prenez une tasse de chocolat.
M. DELAMERCI.
Je vous remercie.
M. DEVERBERIE.
C’est que vous ne connoissez pas celui-là ; Leroux, allez donc.
LEROUX.
Oui, Monsieur.
M. DELAMERCI.
Je vous dis que je vous suis bien obligé.
M. DEVERBERIE.
Quelles façons ! Allons, allons, faites toujours.