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Le GARÇON.
Il ne tardera pas.
M. DUVAL.
Allons, voyons tes dix louis.
M. DELALANDE.
Les voilà. (Il tire sa bourse.)
M. DUVAL.
Voilà les miens. (Il tire aussi sa bourse.) Il n’y a qu’à les mettre entre les mains de Despressins.
M. DELALANDE.
Je le veux bien. Tenez. (Il donne les dix louis.)
M. DUVAL.
Vois s’il y a dix louis ?
M. DESPRESSINS.
Oui, oui ; hé bien ! à présent, je vous dirai que je suis pour celui qui parie, qu’il ne parlera pas.
M. DELALANDE.
Nous verrons.
Le GARÇON.
Ah ! Monsieur, le voilà, le voilà qui vient.
M. DELALANDE, va voir.
Il a parbleu raison, c’est lui-même.