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M. DE GRAND-PRÉ.
Personne, non personne.
M. D’ORBEL.
Dans les Allemandes, sur-tout, Madame de Mirecourt. D’Erviere, donnes-moi la main. Ils dansent.
M. DE GRAND-PRÉ.
Non, non, ce n’est pas comme cela.
M. D’ORBEL.
Je te dis que si, la tête panchée, la ceinture en avant.
M. DE GRAND-PRÉ.
Non, te dis-je, ôtes-toi. Viens, d’Erviere ; d’Orbel, je vas te montrer. Ils dansent & chantent.
M. D’ORBEL.
Oui, c’est vrai ; c’est comme cela ; mais quand elle dansoit avec toi, Grand-Pré ?
M. DE GRAND-PRÉ.
Ah, tu vas voir. Il chante & il danse très-vivement avec M. d’Erviere.
M. D’ORBEL.
Ah, mon ami, tu as raison ; tu dois pleurer cette femme-là toute la vie.