Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
IKAEL.
Oh, c’est un pon occasion.
Le COMTE.
Je me charge de le payer, & vous me le rendrez, quand vous voudrez.
Mad. DE GERCOURT.
Non, je ne veux pas devoir absolument.
Le COMTE.
A moi, sans doute ; car qu’est ce qui ne doit pas ?
Mad. DE GERCOURT.
A vous, ni à personne, que pour des choses indispensables.
Le COMTE.
Prenez-le toujours : si vous vous en dégoûtez, vous me le rendrez, ou vous me le payerez : vous ferez ce qu’il vous plaira. Toi, Ikaël, attends-moi là-dedans. Je te donnerai ton argent chez moi, où je vais retourner.
IKAEL.
Matame, il garde tonc la bague ?
Mad. DE GERCOURT.
Oui, oui, puisque le Comte le veut. En vérité, Monsieur le Comte, je ne sais pas encore quand je pourrai vous rendre cet argent-là, il faudra que nous prenions des arrangemens.