— Avec madame de Gersigny, tout le monde le croit au moins.
— Voilà une bonne plaisanterie.
— De la discrétion ! Si j’étais moins avancé que je ne le suis, je voudrais vous en punir en devenant votre rival.
— Et que dirait madame de Verancour, si elle vous entendait ?
— Elle se rendrait peut-être plus tôt. Adieu, je vais la retrouver.
Et, dit Dinval, que pensâtes-vous de madame de Verancour ?
— Qu’elle serait bientôt la victime du comte, et qu’elle le méritait.
— Rien ne vous retint donc plus vis-à-vis de sa belle-sœur ?
— Je ne voulus plus m’occuper que d’elle. Je montai à sa loge, qui était vis-à-vis de celle de madame de Verancour. Madame de Gersigny y était arrivée, et elle y était seule. Je lui dis des folies qui la firent beaucoup rire, afin que notre gaieté ne pût échapper à