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CHAPITRE VII.

— Très-souvent.

— Et que vous répond-elle ?

— Elle saisit l’à-propos de ce que je lui dis de tendre pour me chanter une ariette italienne très-passionnée, dont je n’entends pas les paroles.

— Je ne vous trouve pas fort avancé.

— Je vous demande pardon, car elle paraît toujours si touchée de ce que je lui dis, qu’il ne tiendrait qu’à moi de croire qu’elle le met en musique tout de suite. Je voudrais alors lui baiser les mains ; mais elle m’arrête en me faisant signe de la laisser achever : enfin, je ne la vois pas de fois qu’elle ne me chante la superbe ariette de Didon :

Quand je vous reçus dans ma cour, etc.

— Écoutez donc ; je ne veux pas détruire l’espèce de bonheur dont vous jouissez ; mais je voudrais vous voir plus certain d’être aimé.

— Supposé que mon bon sens ne soit