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tant que vous le voulez, & je ne vous reproche ni toutes vos courses, ni le tems qu’ils attendent aux Spectacles ; je crois que vous devez être contente.
Mad. de Saint-Yard.
Mais, Madame de Rivaldiere a des chevaux qui font la même chose que les miens.
M. de Saint-Yard.
Et combien dureront-ils ?
Mad. de Saint-Yard.
Ce n’est pas l’affaire des femmes, de s’occuper de cela.
M. de Saint-Yard.
C’est donc celle des maris.
Mad. de Saint-Yard.
Ah ! je vous prie, Monsieur, n’en parlons pas davantage, car cela m’excède.
M. de Saint-Yard.
Comme vous le voudrez.