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La Comtesse.
Je croyois que c’étoit la même chose ; car je n’entends rien à tout cela, moi. Je cause pourtant quelquefois avec Monsieur Richard, à Trianon.
L’Abbé.
C’est un grand Fleuriste, Madame la Comtesse !
La Comtesse.
Je le sais bien, il explique tout cela à la Reine à merveilles.
Mad. de Sourdeil.
Madame votre fille est sûrement de tous les bals de Versailles ?
La Comtesse.
Il le faut bien ; elle aime fort la danse. A propos, Madame, comme j’aime à la distraire, parce que je trouve qu’elle est trop appliquée, j’en saisis les occasions ; j’ai appris qu’il y a un Abbé de vos amis qui donnera bientôt un bal.
Mad. de Sourdeil.
C’est Monsieur l’Abbé Loraux, que voilà.