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— Oh ! alors, Monsieur, je comprends. C’est une raison qui ne souffre pas de retard ; je vous accorde ce que vous me demandez avec plaisir et j’ajouterai : avec mes meilleurs vœux.

— Merci de votre amabilité, Madame. Demain, Zirska et moi, irons visiter mes parents en Beauce, car je suis Beauceron.

Et c’est ainsi que la maîtresse de la petite Polonaise apprit le départ et le mariage de sa jeune protégée.