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— Je te prie de ne pas débiner mon état, Jeanne, dit Velard.
— Allez, ma petite Emma, ne vous inquiétez pas. Paul est un bon garçon, quoique roublard : il fera gagner de l’argent à votre homme et vous n’habiterez plus les Batignolles !… Oh ! là là, s’il me fallait habiter les Batignolles !
Paul Velard, fatigué des émotions de la journée, fit observer qu’il était temps de s’aller coucher, et les deux couples se séparèrent après un grand nombre de poignées de main. Emma promit à Jeanne de dîner avec elle « un de ces soirs », et les deux jeunes gens fixèrent un nouveau rendez-vous pour le lendemain.