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Et il ajouta :

— Je vais essayer une autre affaire.

— Bonne idée, excellente idée, répliqua Farjolle. Oh ! pour celle-là, vous pouvez être tranquille, je vais vous la soigner… J’en réponds de celle-là… Qu’est-ce que c’est ?

Borck parut contrarié :

— Ah ! voilà… C’est que l’idée n’est pas de moi… Il s’agit de lancer un corset… C’est un de vos collègues qui me l’a proposée et j’ai accepté.

— Un collègue ! s’écria Farjolle, navré de voir lui échapper un de ses rares clients. Vous ne me donnez pas votre publicité ?

— Puisque l’idée n’est pas de moi, je ne puis guère…

— Et qui est-ce, ce collègue ?

— Velard, un petit, mince. Il est venu me trouver ce matin… Il a une belle voiture.

— Je le connais, votre Velard, parbleu ! Il se fourre partout…

— Il était ici à huit heures…

— Monsieur Borck, monsieur Borck, je n’ai pas de