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équilibre. Il con­nais­sait, ren­con­trés chez Mous­sac, dans le cabi­net de Veru­gna, dans les cercles, les journa­listes les plus répan­dus. Il s’ap­pro­chait des groupes où des conver­sations s’en­gageaient sur la pièce, et écoutait la discussion avec un air d’approbation flatteuse et entendue. Il ne hasardait jamais des idées person­nelles, appuyant éner­gi­que­ment celles des autres. Ainsi, il était bien vu de chacun et on le prenait à témoin que telle ou telle opinion était exacte. Il ne lui en fallut pas davantage pour avoir bientôt la réputation d’un amateur éclairé, plein de goût et de mesure.

On le nomma parmi les personnes de marque qui assistaient à la représentation ; dans les échos des jour-