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VIII

Farjolle avait enlevé l’affaire. Il revenait avec un traité de Griffith pour la publicité de tous les journaux de Paris. Il fit à Emma de l’imprésario anglais un éloge enthousiaste.

— Ça n’a pas été long. Dès qu’il a vu que j’étais sérieux, que je me présentais avec l’appui de Verugna, nous avons signé. Le traité est au nom de Velard et au mien. Tiens, regarde-le.

Emma déclara qu’elle n’entendait rien à ces écritures.

— Bref, reprit Farjolle, ces écritures signifient que j’ai cent cinquante mille francs à ma disposition, ou plutôt que Velard et moi, nous avons cent cinquante